L’œuvre picturale de Lefranc réinterprète les ruelles de son enfance, les monuments parisiens, les plages bretonnes, les ports vendéens et les paysages méditerranéens.
Son intérêt pour les photographes avant-gardistes des années 30 (André Kertesz, François Kollar, René-Jacques… ) et l’esthétique de la Nouvelle Vision l’amène à expérimenter un nouveau langage visuel, à rejeter les habituelles compositions frontales et à revisiter le réel en usant de plans rapprochés, de plongées, de contre-plongées et d’axes décalés.